Faire-part

Edith VINCKE

Pierrot et Mady Vincke - De Bont,
ses parents ;

Caroline Vincke,
Grégoire et Annick Vincke - Oriol,
Xavier et Ella Vincke - Ratovotiana,
sa soeur, ses frères et belles-soeurs ;

Théo et Hugo Grégoire,
Abigaël Vincke,
Evansceno Vincke - Ratovotiana,
ses neveux et nièce ;

ont la profonde douleur de vous faire part du décès de
Édith VINCKE
née à Kinshasa le 24 novembre 1976, et décédée à Bruxelles le 3 novembre 2011.

Edith repose au Funérarium Jacquemin-Dubuisson-Herreman, 1 rue Emile de Brabant, à 1370 Perwez, où un hommage pourra lui être rendu le samedi 12 et le dimanche 13 novembre de 17h à 19h.

La cérémonie religieuse sera célébrée le mardi 15 novembre à 10h, en l'Église Saint Hubert de Ramillies, au 1 rue du Wayaux, 1367 Ramillies-Village. Rendez-vous à l'église.

Une réception sera ensuite organisée à partir de 11h, à la salle "Le Saule", 4 Chaussée de Louvain à 5310 Eghezée.

Les condoléances peuvent être envoyées à la famille au 83 rue de Fagneton, 1367 Ramillies-Offus.

Le présent avis tient lieu de faire-part.

 


 

Edith est décédée ce jeudi 3 novembre 2011 à quelques jours de ses 35 ans.

Depuis de nombreuses années, Edith luttait avec un grand courage pour surmonter l’indicible douleur de son mal de vivre.

Elle a fait preuve d’un grand héroïsme dans ses efforts pour, inlassablement, prendre le chemin qui la mènerait à une vie sereine. De tout son être elle voulait vivre, et a tout fait pour y arriver. Selon son habitude c’est avec une application sans borne et une volonté tenace que, malgré ses régulières rechutes, elle s’est attelée à cette quête.

Très sensible aux autres, elle s’était récemment engagée dans l’alphabétisation pour adultes, activité dans laquelle elle avait trouvé une raison de vivre.

Ces derniers jours elle construisait encore son projet de retour à la vie en société, et visitait des logements pour trouver celui où elle pourrait s’installer.

Mais ce jeudi, ses démons intérieurs ont pris le dessus et elle a mis fin à ses souffrances.

Unie, la famille d’Edith se nourrit du souvenir qu’elle a laissé. Celui d’une jeune femme éblouissante qui voulait tant s’épanouir, qui avait tant de dons et de qualités : artiste, intelligente, compassionnelle, altruiste, généreuse, unique.

Son regard amusé sur les choses et les gens était surprenant de pertinence et de lucidité. Même dans ses plus profonds désespoirs elle ne se départissait pas d’un désarçonnant sens de l’humour.

Etre à ses côtés durant toutes ces années de quête de bonheur a enrichi notre humanité, et nous lui en sommes reconnaissants.

Nous ne cesserons de l’aimer. Elle fait partie de nous et occupera, à jamais, une grande place dans notre cœur.

Nous garderons en mémoire les moments partagés, les connivences, les sourires et les clins d’œil, les levers et les couchers de soleils, les ciels étoilés et les arcs-en-ciel contemplés ensemble, en silence, en se comprenant si bien.

Puisse-t-elle enfin reposer en paix.

Mady et Pierrot, Caroline, Grégoire et Annick, Xavier et Ella, Théo, Hugo, Evans et Abigaël.